Il est ici question d’épure. Et quoi de mieux lorsqu’elle est amenée par un piano, délivrant des mélodies en dentelles ? Ici, la mélancolie chuchote en filigrane de tout l’album un sentiment hybride, entre les papillons noirs et le bonheur.

Pianophonie s’impose ainsi, en projetant des images, comme autant de portraits intérieurs et de paysages bucoliques.
Rien de bien étonnant lorsque l’on sait que Sébastien Collinet habille régulièrement les images avec ses notes, que ce soit pour le cinéma ou le théâtre.